Alors pour le repas de ce soir, j’avais la chance qu’il m’ait gentiment été donné hier, directement en provenance du port de Capbreton : deux petites daurades ; ce qui m’a rappelé deux choses : la criée sur le port de Saint-de-Luz (deux ans au Pays Basque ça laisse des traces) et le fait que la daurade dans mes souvenirs : j’aimais pas ça.
J’y ai donc vu l’occasion rêvée de nous donner une deuxième chance… parfois l’amour s’installe avec le temps…sauf que là ça m’a plutôt rappelé pourquoi on avait rompu en concluant que non il n’était pas nécessaire que nous restions amies. Et j’ai un peu honte de le dire, vis-à-vis de notre entremetteuse à qui je voudrais dire que « Non non ce n’est pas sa faute à elle, elle était parfaite, elle avait l’œil vif et brillant, l’écaille luisante, c’est moi vous comprenez. Je n’ai jamais su m’y prendre avec les daurades ».
En quelques mots, faute d’avoir trouvé des recettes concluantes autour de la daurade, j’ai farci les miennes de champignons de paris, d’échalotes et de persil hachés, je les ai arrosé de vin blanc et d’un filet d’huile d’olive avant de les enfourner…
Y’a bien des photos mais c’était pas que pas très bon, c’était aussi pas très joli…
Alors aux éventuels lecteurs…des suggestions si jamais un jour une daurade me refait du gringue?
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Et si je créais un groupe facebook: « j’aime pas la daurade »?
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